Autour du triptyque « Emploi, éducation, formation » : pour de nouveaux services publics, l’exemple d’un nouveau service public du périscolaire.
Non, l’échec des Temps d’activité Périscolaires (les TAP), initiés par la Loi Peillon, n’est pas écrit. Ayons de hautes ambitions en matière de sensibilisation des plus jeunes à l’art la culture, le sport.
C’est au service public, avec des agents publics formés, sous statuts et correctement rémunérés, d’assumer les TAP : pour un nouveau service public des T.A.P, déconcentré, ouvert à la société avec des partenariats avec les parents d’élèves et le monde associatif.
Les TAP sont par ailleurs un foyer de vrais emplois, qualifiés, vis à vis d’un public exigeant : nos ambitions concernant les TAP alimentent de façon très concrète la dernière campagne du PCF en faveur de l’emploi.
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