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Débat n°5 : quelles pratiques militantes pour améliorer notre action ?

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Contribution Lydie Perillaud - 93

Beaucoup de gens doutent de la capacité de faire bouger les choses et en même temps, dans leur for intérieur n'acceptent pas la politique actuelle.

L'aggravation de la crise provoque une souffrance: tout est difficile à supporter, le chômage, les licenciements, les difficultés financières, l'avenir des enfants et maintenant l'insécurité, les attentats qui font la Une des infos et qui arrangent bien le pouvoir. Cela génère un repli sur soi. Comment vivre heureux ? Il y a là une contradiction de fond. Attentisme d'une part et révolte intérieure en même temps mais qui s'illustre par une résignation. Les gens pensent que leur avis, quand ils le donnent, n'est jamais pris en compte. La souffrance est sans doute ce qu'il y a de plus manipulable.

Résultat et je le pense profondément, le vécu devient individualiste mais pas de société et le doute s'installe.

Des camarades, des camarades militants et des sympathisants m'ont dit: « Nous n'existons plus.

La gauche est malade, dans l'incapacité d'apporter de vraies solutions. Alors je pense que c'est le problème numéro un, et le plus urgent: renouer des liens de solidarité. Mettre en mouvement nos forces, pas d'exclusion, poser la question des inégalités, en fait reconstruire une conscience de classe.

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Contribution Lydie Perillaud - 93