Les congrès du PCF

Les congrès du PCF
Accueil
 

36e congrès - Le texte - Il est grand temps de rallumer les étoiles

Les statuts du PCF adoptés au 36e congrès

Discours de clôture par Pierre Laurent

Journal CommunisteS n°507 - Spécial 36e congrès - 13 février 2013

Restez informé-e

Chaque semaine, un point sur les initiatives et les débats en lien avec le congrès.

Recevoir la lettre du 36e Congrès

 
 
 

La forme d'organisation que doivent se donner les communistes par Y. Dorion

Longtemps militant du PCF et responsable à un niveau modeste, je suis préoccupé par la forme d'organisation que doivent se donner les communistes afin de jouer dans la transformation de la société le rôle que potentiellement leur autorise une réflexion politique longue et approfondie. Je rencontre quelquefois des idées qui me paraissent constituer des prémisses à l'expression d'une forme nouvelle d'organisation, qui rompe radicalement avec le parti léniniste tout en ouvrant la voie à un processus de transformation communiste de la société. Il est vrai qu'il y en a d'autres qui semblent tenir l'activité du Front de gauche pour la manifestation d'une pratique politique nouvelle. Je me suis réjoui moi aussi de sa vigueur, de son dynamisme et de son sens. Peut-on dire cependant qu'elle ait rassemblé davantage que les femmes et les hommes qui bougeaient encore sur les corps plus ou moins moribonds des PCF, NPA et autres organisations se référant à Marx ? C'est enthousiasmant de se retrouver au-delà des clivages entre prétendus staliniens et soi-disant trotskistes. Je peux en témoigner pour avoir moi-même fait - et conduit - cette expérience il y a 20 ans dans un cadre syndical et à l'échelon régional. Mais politiquement le compte n'y est pas.

A mon sens il ne pourra pas y être tant que l'organisation restera une structure partisane, fût-elle un front. Celui-ci est et restera une coalition de petits partis, condamnés à se parler du fait de leur caractère groupusculaire. En outre, par suite et plus au fond, se déterminant lui-même de gauche, ledit Front s'inscrit délibérément dans la bipolarisation de la vie politicienne, si néfaste à la vraie politique. Qu'il ambitionne de prendre la place du PS pour proposer une véritable alternative à la politique de droite, relève, à mon avis, d'une pratique ancienne. Je n'ai pas vu que les rassemblements autour de Jean-Luc Mélanchon, immenses et enthousiastes il est vrai, si réjouissants qu'ils fussent, aient apporté quoi que ce soit de neuf en matière d'élaboration des revendications par les citoyens eux-mêmes, de dépendance et de bénéfice réciproques, d'échange de réflexions et d'idées, d'émancipation de l'intelligence de chacun. Je ne pose pas au censeur sévère : était-il possible de faire autre chose cette année ? Mais il est maintenant urgent de faire autre chose.

L'évolution de la vie politique depuis plusieurs décennies, et singulièrement la perte d'influence du PCF, requièrent des communistes, comme une nécessité évidente, impérieuse et immédiate de donner à leur réflexion et à leur activité une forme d'organisation nouvelle. C'est pourquoi je souhaite avancer une proposition qui découle de l'observation suivante.

Le parti communiste a été dès l'origine structuré sur le modèle militaire en compagnies, régiments, divisions, armée. Il visait à couvrir totalement et au plus près le terrain qu'il occupe, celui de notre pays. Ses capitaines, ses colonels, ses divisionnaires et son généralissime étaient assistés chacun à son niveau d'un état-major, qui discutait avec eux les décisions qui devenaient ensuite des ordres. Les chefs pouvaient être durs ou humains, ils pouvaient être indifférents aux difficultés des hommes ou y être attentifs et sensibles, il n'en demeure pas moins que la structure était verticale, et que tout était organisé pour que la circulation s'y fasse de haut en bas plutôt que de bas en haut. J'espère qu'aucun communiste n'a vécu son militantisme exactement sur ce mode, mais il n'en demeure pas moins qu'une structure a ses lois.

L'organisation qu'ils ont eue depuis 1920 a été souvent imitée, mais jamais égalée par les autres formations politiques, peu soucieuses de faire remonter une proposition de la base au sommet.

Car contre la structure il y a le terrain occupé. C'est de lui en effet que viennent les militants. Le parti ne peut pas faire autrement que les recruter dans la population. Ils n'assument d'engagement que s'ils trouvent dans l'action du parti des principes et des moyens en accord avec leur conscience, laquelle, peut-on souhaiter, est la plus lucide expression des revendications populaires de liberté, d'égalité, de fraternité et de justice. Cette base populaire élit les capitaines, colonels et généraux, ainsi que leurs états-majors respectifs, et elle les choisit parce qu'ils sont les meilleurs pour la représenter, en raison de leurs capacités et de la fermeté de leur engagement au service de tous. Je crains que quelques communistes aient eu l'occasion d'être insatisfaits de leur représentation, mais il n'en demeure pas moins que la démocratie a ses exigences.

Comment ces deux réalités contradictoires de la structure et de la démocratie se combinent-elles entre elles ? Aussi longtemps que règne dans la société une certaine uniformité, qu'on trouve chez les exploités du capitalisme une relative indistinction, l'harmonie entre elles est possible. Le parti est bien l'armée de la classe ouvrière, et même il est vraiment son avant-garde, parce que la classe ouvrière est elle-même une armée, c'est à dire que les différences en son sein sont inexistantes, ou du moins peu marquées. Pourtant elle ne fait pas encore la totalité des exploités. Les employés et les paysans, sont indispensables au gain de la victoire, et néanmoins ne sont alors conçus que comme des troupes auxiliaires, peu fiables, incapables de monter en première ligne. Et je ne dirai rien des intellectuels.

Le terrain occupé est déjà trop divers dans ces conditions pour être bien représenté dans le parti. Mais aussi longtemps que celui-ci reste effectivement l'organe de la classe ouvrière, on n'en fait pas un problème : ceux qui ne sont pas ouvriers se rallient à la classe ouvrière. Par contre lorsque la classe ouvrière commence à éclater en conditions très diverses, et a fortiori lorsque ses effectifs diminuent, le problème est patent.

Il n'y a pas d'autre solution à la contradiction survenue entre la structure verticale et la diversité de la population française que d'évincer complètement la première (on ne va pas évincer les Français pour conserver le parti), pour donner aux communistes une forme d'organisation entièrement nouvelle, en harmonie avec ce que sont aujourd'hui les Français. Que lui demande-t-on ? Il faut qu'elle puisse tirer toute la richesse potentiellement contenue dans la diversité, la singularité des positions, dans l'échange et même les divergences de l'expérience humaine. Il faut qu'elle puisse s'extraire de tout contrôle centralisateur et s'éveiller contre toute autoritarisme.

Si l'organisation n'est plus verticale, peut-elle pour autant être horizontale ? Comment une communication horizontale est-elle possible ? Pendant longtemps elle a été impossible ou tellement limitée qu'elle ne pouvait concerner que des cercles amicaux et locaux. La presse écrite, fût-elle régionale, parle d'en haut. La radio et la télévision, quels que soient leurs efforts pour se rapprocher des « gens », parlent d'en haut. La communication par internet, en revanche, n'est pas nécessairement horizontale, mais elle peut l'être. Je communique horizontalement avec tous les interlocuteurs dont les noms figurent dans le carnet d'adresses de ma messagerie. Il faut qu'ils communiquent réciproquement de la même manière avec moi et avec tous, sinon ce serait encore une communication verticale. On peut faire l'hypothèse que ce carnet d'adresses est un club, en ce sens qu'il discute de problèmes politiques et qu'il avance des idées. Il peut aussi entrer en communication, toujours horizontale, avec un, deux, n autres clubs, recevoir d'autres idées, les discuter, les partager, les propager. Ce qui est bien autre chose que les recevoir d'en haut.

Parlant de clubs, j'évoque l'ombre des Jacobins. Avant qu'existe le parti léniniste, ils constituaient bien une organisation politique. Une organisation politique est donc bien possible, qui soit autre chose qu'un parti. Il ne peut cependant être question de revenir à ce qu'étaient les Jacobins. Et c'est en fait par la même raison qu'on ne peut en rester au parti léniniste. Car le club était une organisation verticale, dont la centrale était à Paris, dont les organisations de province n'étaient que des filiales, qui avaient la fonction de répercuter les initiatives du centre, qui était plus exactement un sommet. Pourtant la spontanéité n'en était pas absente, il y venait beaucoup de monde (au début), on y discutait de tout ce qui préoccupait, des motions originales en partaient, les niveaux intermédiaires n'y existaient pas (pas de compagnies, régiments, divisions). En cela ils peuvent inspirer une organisation politique pour le XXIe siècle.

On a beaucoup commenté depuis bientôt deux ans le rôle qu'a joué internet dans les rassemblements populaires de Tunis, du Caire... de New-York et de Reykjavik. Car il est très remarquable que des femmes et des hommes, sans parti politique pour les mettre en mouvement, se soient d'eux-mêmes portés vers les grandes places et y aient exprimé vigoureusement leur indignation ou leur revendication : « dégage ». Plusieurs questions ne sauraient cependant être éludées. Les fausses nouvelles ne circulent-elles pas aussi bien que les vraies ? Les adversaires de la démocratie sont-ils incapables de se servir de l'outil internet ? Et surtout : une fois dégagé qui l'on voulait dégager, qui prend (fût-il élu démocratiquement) sa place ? Une fois exprimée la défiance et la réprobation à l'encontre des banquiers et des politiciens (fussent-ils élus démocratiquement), que propose-t-on ?

Il a manqué à ces initiatives non partisanes des forums pour avancer des idées, pour les discuter, pour leur donner une forme capable de produire le rassemblement le plus large. Car remplir la place centrale des jours et des semaines, c'est formidable, mais quelle fraction de la population y participe ? Ce problème est le nôtre. A nous aussi il faut réfléchir, débattre, rassembler. L'outil qu'est internet est nécessaire, car il ne coûte rien (ou peu), car son effet est instantané et, dès lors qu'il existe, on est déjà en retard si on ne l'utilise pas. Mais il est loin d'être suffisant. Quelqu'un, dans son coin, peut bien avoir son idée, la lancer sur internet, et être entendu. Pourtant il n'y a d'autorité indiscutable. Il faut mettre toute idée en débat et il faut un lieu de débat, un lieu physique où l'on se rencontre, se rassemble et s'organise pour se parler et s'écouter, pour discuter utilement et lancer des initiatives qui aient chance d'aboutir à la fin souhaitée.

Qu'on le nomme forum ou autrement, ce type d'organisation s'impose comme un lieu de réunion, de discussion, de proposition et d'initiative entre des femmes et des hommes 1° désireux de le constituer, et 2° les plus largement représentatifs qu'il est possible de trouver sur un territoire où la rencontre physique ne fait pas de difficulté. Son objectif immédiat est l'action. Etant donné le rôle qui est constitutionnellement celui des députés, et qu'il faut que leurs électeurs leur fassent part de leurs revendications, la base territoriale des forums peut, sans que cela soit pour autant nécessaire, être la circonscription électorale. Mais toutes les collectivités locales peuvent aussi demander un forum. En principe n'importe qui peut se rassembler n'importe où, avec les gens qu'il connaît, qu'il sollicite, pour un vrai débat. Et faire circuler ce qui a été discuté. Je parle ici de l'organisation propre au rassemblement le plus large, bien au-delà des communistes.

Mais les communistes, entre eux, ont besoin d'échanger. Organiser le rassemblement le plus large n'est pas s'y dissoudre et y perdre sa personnalité. En tant que communistes ils se reconnaissent une certaine identité. Ils pensent, ce que d'autres ne pensent pas, que Marx a donné des outils spécifiques et indispensables pour concevoir le mouvement du monde. Ils veulent les employer dans l'analyse et dans la proposition. Ils ne souhaitent pas s'en priver et ils ne sauraient attendre que tout le monde les emploie. Or il ne peut pas non plus y avoir de communiste tout seul dans son coin. Les communistes, comme les autres, ont besoin d'un lieu physique de rencontre, d'échanges, de débats et de propositions. Peut-être, en outre, est-ce davantage comme marxistes qu'ils en ont besoin. Car, membres ou non du parti communiste, divers sont ceux qui ont en commun les outils de Marx. Il leur serait très profitable de renouveler leur identité par-delà les éclatements et les scissions dus au stalinisme et aussi au léninisme.

Quand à ceux qui ne se revendiquent pas du marxisme, ils peuvent très bien se donner un mode d'organisation analogue, leurs propres clubs. Non seulement les communistes ne sauraient rien y trouver à redire, mais ils y reconnaîtraient une exigence de la rigueur du débat.

Il leur faut donc leurs clubs locaux qui ont leur vie propre. Ils communiquent horizontalement entre eux, car c'est l'exigence du débat. Il y a par suite un moment où il faut fédérer ce qui se dit ici avec ce qui se dit là et tout ce qui se dit et se propose ailleurs, entre marxistes. C'est d'ailleurs le même besoin qu'éprouvent les forums du rassemblement le plus large. Il leur faut aussi se fédérer pour faire converger les initiatives autant qu'il est souhaitable. Et cela ne peut se réaliser que par la circulation la plus large des idées et des propositions, sans qu'aucun centre ni sommet ne soit investi d'une autorité qui lui permettrait d'imposer un type d'action déterminé. Mais en ce qui les concerne, ils ne visent pas d'action propre des marxistes. Qu'est ce que ça voudrait dire que les marxistes sont sur la place devant le palais, en tant que tels et tout seuls ? Cela n'a aucun intérêt. Leur vocation n'est pas d'agir tout seuls. Le parti devient maintenant le club de discussion qu'il a longtemps refusé d'être. Il l'a refusé par soumission à la conception léniniste qui se donnait, croyait-elle, le moyen de faire prendre les décisions par une minorité et d'obtenir par son activisme les résultats espérés.

Qu'ils n'aient pas d'action propre implique que les marxistes n'ont pas à présenter de candidats aux élections. Ils ne sont pas candidats aux postes électifs, à aucun niveau. Leur rôle est d'animer le forum le plus large, pour faire entendre le plus fort possible les revendications populaires élaborées en commun. Les faire entendre à qui ? Aux élus, car ce sont eux, à tous les niveaux de la collectivité, qui ont à prendre les décisions politiques. Faut-il que ces élus soient communistes ? Clairement : non. Du fait du rassemblement, le rôle que la Constitution de 1959 accorde aux partis politiques devient caduc. On peut l'abandonner sans regret. A-t-on vu réellement que « les partis contribuent à l'expression du suffrage » ? Ils la faussent. A-t-on réellement vu qu'ils débattent entre eux ? Dans les assemblées les votes sont bloqués. C'est l'aveuglement et la surdité qui sont institutionnels avec les partis tels qu'ils sont, c'est le contraire du débat.

Certes, si les communistes renoncent à présenter des candidats aux élections, les autres n'y renonceront pas pour autant. Mais ce n'est pas pour leur laisser les mains libres qu'ils le font. Au contraire. Même si leurs candidats devaient faire plus de 2%, ou plus de 10%, ils ne feront jamais la majorité de l'Assemblée nationale. La bipolarisation produite par la Constitution de la Ve République, en déjà plus d'un demi-siècle, a produit des effets irréversibles. On a maintenant une alternance entre les bleus et les roses, deux machines électorales dont on a quelques raisons de penser qu'elles ne visent que les intérêts particuliers de leurs caciques, deux écuries vers lesquelles les électeurs sont proprement rabattus. Jamais dans le cadre de cette Constitution ne s'imposera comme une majorité alternative une force politique qui ferait craquer la bipolarisation. C'est ce qui donne son actualité et son urgence au transfert de l'activité communiste sur un terrain autre que celui des élections, celui de l'analyse des faits et de l'élaboration des propositions.

Quand bien même un avenir majoritaire serait autre chose qu'une délirante conjecture, il n'est pas souhaitable. Leur ambition est-elle de devenir le Soviet suprême ? Quand y a-t-il eu des débats au Soviet suprême, au temps de Lénine ? de Staline ? Plus près de nous, ça ne vaut même pas la peine de poser la question. Mais le problème de la représentativité des élus ne concerne pas que les peuples de l'ex-Union soviétique. Les élus n'ont plus de crédibilité nulle part. Ce n'est pas que certains ne la mériteraient pas. Mais quiconque est candidat, désireux d'un mandat électif, est suspect de vouloir user du pouvoir à son profit ou à celui de son écurie. Je suis même certain que la crédibilité des communistes repose sur le renoncement à présenter des candidats aux élections. Ce n'est que par là qu'ils peuvent lever le soupçon d'être les agents d'une structure partisane, qui vise à mettre la main sur l'appareil d'Etat pour les avantages qu'il permet. Les intérêts particuliers les plus puissants exercent sur les élus de telles pressions, que ce qui a une portée réelle ce n'est pas de leur prêter une incorruptibilité qu'ils perdront d'autant plus qu'ils se trouveront placés à un plus haut niveau de responsabilité, mais d'exercer sur eux la plus vigoureuse contre-pression populaire. Comme l'organisation des communistes, la culture politique des Français change. Ils méprisent leurs élus. Il faut leur montrer que, s'ils ont raison, ils n'ont encore parcouru que la plus petite moitié du chemin. L'autre moitié c'est de les contrôler.

Ce contrôle peut s'exercer par le rassemblement initié par les forums devant les mairies, les permanences des députés, etc. et finalement devant l'Assemblée nationale ou le palais présidentiel. C'est exercer une pression sur les élus médiocres et quelconques (même si quelques uns valent mieux) issus des machines électorales, comme si rien d'autre que le sort les avait tirés de l'anonymat, pour qu'ils deviennent véritablement représentatifs. Il peut s'exercer aussi par la propositions de candidatures issues du forum lui-même. Car si le candidat désigné par l'écurie électorale est suspect, il n'en va pas de même de celui qui est sollicité par les électeurs. Or la vie propre du forum dégage évidemment des personnalités estimées pour la manière dont elles proposent, discutent et appliquent les décisions, par suite reconnues capables de le représenter. Et comme les communistes sont partie intégrante du forum, il se peut que les candidatures proposées par le forum désignent des communistes. Mais ils ne sont pas sollicités en tant que tels, ils sont les candidats de tout le monde et non ceux des clubs communistes. En conséquence, s'ils sont élus, ils n'ont pas à créer de groupe qui serait une fraction du forum.

Ce à quoi j'aboutis est une double déconnexion. On déconnecte de la fonction de discussion 1° la fonction d'action ; 2° la fonction élective. Conséquences : on crée sur le territoire un double tissu : le tissu marxiste des clubs, de rayon limité, dont la seule fonction est de discuter ; un second tissu, les forums de rayon en principe illimité, qui à la fois a la fonction de débattre et celle d'agir, cette dernière s'exerçant sur les élus.

Chose très remarquable, en ce début de XXIe siècle, ce double réseau n'a besoin de l'autorisation de personne pour se mettre en place immédiatement.

Il y a actuellement 0 réactions

Vous devez vous identifier ou créer un compte pour écrire des commentaires.

 

le 06 November 2012

    A voir aussi